Écho d'Acadie Décembre 2015 | Page 3

Tel que décrit dans le premier numéro, il n'y a aucun magazine en Acadie depuis la fin malheureuse

du Ven'd'est. Il y a pourtant une population assez grande pour justifier

un magazine, et l'Internet nous relie plus que jamais.

Un écho, selon le Petit Robert, est un titre porté par de nombreux journaux. Il y a déjà eu plusieurs échos en Acadie, de l'Écho de Methegan de 1884 en passant par l'Écho de la Baie ou l'Écho des Caps de nos jours.

C'est l'aspect convivial que nous voulons mettre de l'avant avec ce titre. Oui, il y a des sujets sérieux qui sont abordés dans le magazine. Pourtant, c'est une publication généraliste, qui touche un peu à tout. Tout le monde peut donc s'y reconnaître, trouver des sujets qui l'intéresse.

Même si l'Écho d'Acadie est centré sur l'Acadie, il parle aussi du monde et permet au monde de s'informer sur l'Acadie. C'est une Acadie pratique, fonctionnelle comme dirait un certain géographe, comprenant l'ensemble des

communautés des provinces de l'Atlantique, pas seulement une ville, une région ou une province en particulier. C'est une Acadie ouverte, n'ignorant pas ses racines et ses liens avec l'autre Acadie qu'on a tendance à oublier, au Québec, aux États-Unis et ailleurs. Les deux sont compatibles et c'est pour ça que le magazine s'appelle l'ÉCho d'Acadie.

Courrier du lecteur

Bonne chance avec votre journal!

Edith Butler

Canton Stanstead (Québec)

L'Écho d'Acadie nous permet de rester en contact avec notre coin de pays et nos origines et aussi des changements qui s'effectuent à Caraquet et les environs.

Jacqueline Doiron Couture

Laval

« Elle aurait dût féliciter la ville pour ses progrès plutôt que de critiquer le fait qu'elle n'avait pas encore atteint les objectifs » -Donald Arseneault, sur la question linguistique à Miramichi

En est-on rendu là? Est-on obligé de devoir toujours faire des courbettes pour des cas ne touchant qu'une personne, un organisme? Si Miramichi ne fait pas assez d'effort, qu'on laisse la commissaire le dire. Nous avons

tous la liberté d'expression, ne l'oubliez pas.

Si un commissionnaire ne sait pas encore parler français à l'âge de 64 ans et qu'il fait l'objet d'une enquête, ce n'est pas une attaque à l'encontre de l'ensemble des locuteurs de sa langue maternelle. Selon les informations qui circulent, Wayne Grant aurait en fait suivi les procédures. Katherine d'Entremont a aussi suivi les procédures en déclenchant l'enquête elle-même.

Katherine d'Entremont a manqué de tact. Wayne Grant aurait dû proposer le service d'un employé francophone ou bilingue. Donald Arsenault n'a pas à transformer l'événement en un repenti collectif des Acadiens envers la population anglophone. Le contraire ne se voit pas, alors pourquoi les Acadiens devraient-ils agir différemment?

Peter Galvaud

Toronto

Dans tous les bons kiosques?

Terry Tan

Montréal

Réponse de l'éditeur:

Le magazine sera

disponible en version

papier le plus

rapidement possible,

probablement en 2016.

Visitez la page Facebook

https://www.facebook.com/echodacadie/

et le site oficiel

http://echodacadie.com/

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Pourquoi l'Écho d'Acadie?

Magazinein/January, 2012 3