The Doppler Quarterly (FRANÇAIS) Printemps 2016 | Page 8
Au-delà de l’aspect fi nancier,
les entreprises adoptent le cloud pour gagner en agilité
et accélérer la mise sur le marché.
Le manque de compréhension des technologies et pro-
cessus de gouvernance du cloud et l’incapacité à gérer
correctement un tel environnement en production frei-
nent également l’adoption.
En outre, il existe des différences entre le retour sur
investissement promis par les prestataires de cloud et
le retour sur investissement véritablement réalisé par
les entreprises. Cela est dû à un manque d’expérience
et/ou une mauvaise compréhension de l’impact du
cloud sur les coûts liés à la main-d’œuvre,
le coût lié au changement au sein de l’organisation et le
besoin d’exploiter des systèmes cloud et non-cloud par-
allèlement au basculement.
Malgré ces inconvénients, l’adoption des clouds privé et
public augmente de façon exponentielle. Le secteur
émergent semble résoudre les problèmes, et les réus-
sites éclipsent les échecs.
La plupart des entreprises ont encore beaucoup à
apprendre. A l’instar de l’adoption du Web dans les
années 1990, le cloud computing est encore plus sys-
témique et sa portée plus considérable. Il faudra encore
au moins 10 ans avant que l’adoption du cloud puisse
déployer toute sa valeur.
Autres moteurs
La deuxième vague du cloud computing s’appuie égale-
ment sur l