Montréal pour Enfants vol. 17 n°3 Été 2017 | Page 36

36 loisirs www.montrealpourenfants.com comme celui de Kart-O-Mania, www.kart-o-mania.ca, à Montréal. Cette dernière infrastructure vient tout juste de s’offrir une nouvelle flotte de Sodi Kart RX7, qu’ils pourront conduire eux-mêmes lorsqu’ils atteindront la taille de 1,30 m. Certains parents plus frileux seront toutefois plus rassurés de voir leur enfant se tourner vers une course plus virtuelle derrière les écrans géants du Montvr Montréal montvr.com/fr, qui n’est proposé qu’aux 7 ans et plus, mais qui permet à 4 joueurs (ou moins) de s’affronter dans une course endiablée. Les enfants trop jeunes pour se lancer sur le circuit de course ICAR, avant l’âge de 10 ans et avant d’atteindre 1,22 m, découvriront avec joie l’Aérodium, icarexperience.ca/activites/aerodium, un simulateur de chute libre, où les expérimentateurs sont maintenus dans les airs par un vent soufflant à 200 km/h sous leur corps, dans un tunnel de près de 4 m de diamètre. Les enfants pourront aussi bénéficier d’un entraînement convenant aux parachutistes en herbe de 4 ans et plus. Bien que cette activité n’existe que depuis trois ans à Mirabel, il est possible de flotter ainsi dans les airs depuis plusieurs années déjà au SkyVenture Montréal, www.skyventuremontreal.com, qui, malgré son nom, est bel et bien situé au Centropolis de Laval. Une fois revenu sur terre, il suffit de faire quelques pas pour se retrouver au Cosmodôme, www.cosmodome. org, où l’on défie également les lois de la gravité grâce à la reproduction d’autres engins conçus, cette fois, pour préparer les astronautes à leur mission spatiale. Ceux-ci mettent à l’épreuve les facultés du système d’orientation interne du corps en faisant perdre, durant un instant, les repères spatio-temporels, en tournant le corps dans tous les sens. Un autre simulateur est conçu pour soutenir une partie du poids et obliger les futurs astronautes à fonctionner avec le même degré de gravité que s’ils étaient sur la lune. Il faut cependant savoir que ces activités ne durent que quelques minutes et ne s’adressent qu’aux futurs citoyens de l’espace de 1,30  m et plus. Il ne s’agit alors que du moment fort d’une journée passée au musée. À l’attaque Laser, flèches et paintball Les plaisirs de la technologie pourraient captiver les enfants durant des heures et les parents qui voient les enfants devant leur écran de jeux vidéo le savent bien. Aussi, toute l’année, il est possible de proposer aux siens de participer physiquement à une aventure de poursuites et d’affrontements au laser dans les couloirs sombres et de plus en plus nombreux consacrés à la poursuite au laser. Les tournois durent une vingtaine de minutes, mais, comme dans l’univers du jeu vidéo, rien n’empêche de renaître et de rejouer indéfiniment ou encore, de profiter du fait que les centres de laser tag combinent souvent plusieurs activités. Pour les fervents soldats de l’île de Montréal, le SkyTag, skytag.ca/fr/, de Dollard-des-Ormeaux, propose d’alli er le combat et le saut en trampoline. Chez BoulZeye, boulzeye.ca, après s’être défiés sur les 35  000 pieds carrés des 6 sections aménagées pour le laser, les équipiers peuvent achever de régler leurs comptes devant une allée de quilles, où même des enfants de 2 ans peuvent jouer. Un autre vaste sentier de guerre, réparti sur 5 étages, se situe au cœur de Montréal, au LaserQuest, www.laserquest.com. L’espace comprend aussi des jeux d’évasion pouvant combler les jeunes de 10 ans et plus, aux tendances plus stratégiques que physiques. Au Ministry of Cricket, www.ministryofcricket.ca, les enfants, à partir de 8 ans, peuvent tenter de résoudre les énigmes de l’univers de Sherlock Holmes qu’abrite leur nouvelle chambre d’évasion. Mais c’est dès 6 ou 7 ans qu’ils