Magazine des Elus de Dieu LES MIRACLES DU VŒU | Page 52
en sacrifice à l’Eternel, on présentera l’animal au sacrificateur,
qui en fera l’estimation selon qu’il sera bon ou mauvais, et l’on
s’en rapportera à l’estimation du sacrificateur. Si on veut le
racheter, on ajoutera un cinquième à son estimation. ». Dans ce
passage nous voyons que dans l’Ancienne Alliance, le souverain
sacrificateur devait décider si le vœu pouvait être racheté ou pas.
Après avoir analysé les dons du vœu, le souverain sacrificateur
peut décider s’ils doivent être vendu ou pas. Et si ces dons sont
mis en vente aux enchères, le donateur peut les racheter. En cas
de rachat, le prix du don grimpe. Par exemple, si vous avez fait
un don de voiture d’une valeur de 5.000 euros, vous ne devez pas
le racheter en dessous de 5.000 euros, pas même à 5.000 euros,
mais plus. Dans l’Ancien Testament, vous devez ajouter un
cinquième de son prix normal. Lévitique 27 v.13. Dans notre
exemple, la voiture doit être rachetée à environ 6.000 euros ou
plus. Le cinquième sur son prix normal d’une chose est valable
pour tout don en nature fait à l’Eternel qu’on veut racheter. En
cas de vente, celui qui fait le don est prioritaire, mais s’il ne veut
plus le racheter, quelqu’un d’autre est libre de le faire. Peu après
ma conversion, j’ai vu un miracle qui m’a beaucoup épaté se
produire. Il y a un commerçant qui a accompli son vœu à
l’église, un dimanche, et le pasteur, après analyse de son don,
convaincu par le Saint-Esprit, à juger bon de le mettre en vente.
Parmi les dons, il y avait un kit d’accouchement. Le kit a plu à
une femme qui était dans la quarantaine. Appelons-la Bénédicte.
La sœur Bénédicte a acheté ce kit à cent mille. Or, son prix
normal est dix mille francs. Je ne comprenais pas pourquoi
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