Magazine des Elus de Dieu LES MIRACLES DU VŒU | Page 36

candidats, et ces candidats étaient tous des licenciés. Il n’y avait qu’une seule personne qui a eu l’audace d’aller se hasarder avec le baccalauréat : Roger. Lorsqu’il a eu connaissance qu’il était le seul bachelier parmi ces licenciés, Roger était déçu et a tenu à me le faire savoir. Je lui ai dit, pour l’encourager, de ne pas s’inquiéter, car les sujets qui seront traités lui seront favorables étant donné que c’est un concours pour niveau baccalauréat. Nous avons prié pour ce concours pendant une semaine. A la veille, je lui ai fait part dans mes exhortations du mystère des vœux. Je lui disais que les vœux déclenchent des miracles, mais sans l’inciter à le faire. Il devait prendre la décision de lui-même. Le jour-J, à quatre heures du matin, il est venu me voir avant d’aller composer. Il m’a signifié qu’il voulait faire un vœu à l’Eternel pour ce concours, mais qu’il ne savait pas comment le faire. Je lui ai dit que pour faire un vœu, c’était simple. Il y a deux choses : -Il faut dire à Dieu ce que tu veux qu’il fasse pour toi. -Et lui dire ce que tu feras en retour. Ce qui nécessite une profonde réflexion, c’est le deuxième point, c’est à dire l’engagement de l’homme. Avant de faire un vœu, nous devons savoir que ce qu’on attend de Dieu n’est pas un problème, c’est ce qu’on s’engage à faire en retour qui en un. Dieu a toujours honoré sa parole, il a toujours fait sa part, c’est l’homme qui oublie ou rejette à demain. Avant de faire un vœu, il faut qu’on soit sûr, il faut qu’on soit déterminé, il faut qu’on ait la volonté d’honorer notre parole au temps marqué. On ne peut pas tromper Dieu. Roger avait maintenant la réponse à sa 36