windows or bolted out onto their porches.
‘They float,’ it growled, ‘they float, Georgie, and when you’re down here with me, you’ll float t—‘
George’s shoulder socked against the cement of the curb (…)
‘Everything down here floats,’ that chuckling rotten voice whispered, and suddenly there was a
ripping noise and a flaring sheet of agony, and George Denbrough knew no more.
(…) Only forty-five seconds after the first scream, George Denbrough was already dead. (…)
Blood flowed into the stormdrain from the tattered hole where the left arm had been. A knob of
bone, horribly bright, peeked through the torn cloth. The boy’s eyes stared up into the white sky,
and (…) they began to full up with rain. »
3. Harlan Coben, Ne le dis à personne, 2006
Chaque année, Elizabeth et Beck nagent dans le lac Charmaine,
comme ils l’appellent. Cette année, il fait nuit et froid. Elizabeth se
jette à l’eau. Beck la suit, quand il revient à la surface, Elizabeth a
disparu.
«C’est là que je l’ai entendu crier.
J’ai baisser la tête et me suis remis à nager, de toutes mes forces,
battant des bras, poussant sur les jambes. Mais le ponton était
encore loin. J’essayais de scruter la rive : il faisait trop sombre, les
rares échappées de la lune n’éclairaient rien.
J’ai entendu une sorte de raclement, comme quelque chose qu’on
aurait traîné par terre.
Devant moi, se trouvait le ponton, à six mètres pas plus. J’ai nagé
plus vite. Mes poumons étaient en feu. J’ai bu la tasse ; les bras
tendus, j’ai tâtonné dams le noir, à la recherche de l’échelle. je l’ai empoignée et me suis hissé
sur le ponton. Les planches étaient mouillées. J’ai regardé la cabane, en vain. Il faisait trop noir.
- Elizabeth!
Quelque chose, du genre batte de base-ball, m’a frappé droit au plexus. Les yeux exorbités,
plié en deux, suffoquant, j’ai cherché mon souffle. UN nouveau coup, cette fois sur le sommet du
crâne. J’ai entendu un craquement, comme si on m’avait planté un clou dans la tempe. Mes
jambes se sont dérobées, je suis tombé à genoux. Totalement désorienté, j’ai couvert ma tête de
mes mains pour essayer de me protéger. Le coup suivant - le coup final - m’a atteint en plein
visage. »
4. Karine Giébel, Post mortem, 2013
Morgane est une actrice très connue. A cause d’elle, Aubin a un accident
de voiture. Malgré les circonstances, les deux deviennent des amants
après qu’il l’ait pardonnée, du moins c’est ce qu’elle croit. Morgane est
mariée à Marc, un homme qui la bat. Aubin est si amoureux d’elle qu’il
ferait tout pour elle, même tuer Marc. A lire absolument !