Les installations du groupe ATIS
ont été sauvegardées, mais d’autres
entreprises sont à risque d’un rachat
par des actionnaires externes. Est-ce
qu’il faudra déployer des ressources
supplémentaires pour garder le
contrôle des actifs québécois?
Alors que le vieillissement des
entrepreneurs fait partie de l’actualité
au Québec, il est évident que l’on désire
continuer à maintenir le contrôle des
fleurons économiques de la province.
Or, ceux-ci font l’objet d’une compétition
féroce qui exigera la mise en commun
des fonds d’ici pour être en mesure de
les garder au pays.
De plus, la conservation de centres
décisionnels est particulièrement
critique dans un contexte de
mondialisation, alors que ceux-ci
sont à la racine du développement
économique d’un état.
Horizon Weekend - Montréal, 08 Mars 2015 - Page 18