C
ALEXANDRE MANLOW
Secrétaire Général des GBU
omme c’est souvent le cas, le deuxième
quadrimestre de l’année académique des GBU
présente des défis récurrents et inhérents. Le
principal challenge est la baisse de l’engagement
global des GBUssiens en terme de nombre
d’étudiants impliqués dans les activités des
GBU. Ce phénomène trouve sans nul doute son
explication dans la combinaison de plusieurs
facteurs, dont les suivants : un coup de « froid »
suite à une première session d’examens difficile
qui ne débouche pas toujours sur les résultats
attendus ou espérés ; le coup de froid (non plus
au sens métaphorique !) qui ne donne pas envie
de sortir de chez soi ; et un rythme saccadé dû
aux vacances, aux jours fériés et aux semaines
intermédiaires, ce qui ne favorise pas la prise de
bonnes habitudes à quelque niveau que ce soit.
Ces causes ne prennent bien évidemment pas
en compte la pléthore de raisons personnelles
qui sont souvent compréhensibles, tandis que
certaines d’entre elles révèlent une perspective
(trop ?) marquée par le terrestre et trop peu fixée
sur les réalités éternelles. Bien sûr, personne
n’est à l’abri de cette tendance naturelle que
nous avons tous, quel que soit notre stade de vie
(étudiants GBUssiens ou non, ouvriers des GBU,
responsables d’Église, diplômés à la recherche
d’emploi, employés ou retraités). D’où notre
besoin à tous de soutien dans la prière afin que
nous recherchions les choses d’en-haut et non
pas ce qui est sur la terre (Col 3,1-2), et que nous
recherchions d’abord le règne de Dieu et sa justice
(Mt 6,33). La semaine d’événements du GBU
étant sur le point d’avoir lieu, pouvons-nous aussi
solliciter votre soutien dans la prière dans ce sens
(voir p. 8-11) ? Ce serait une façon merveilleuse
de collaborer ensemble pour la propagation de
l’Évangile !
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