Colloque Julius Koma COLLOQUE corrigé le 4 juin 2017 | Page 15

ont été posées quant à la pertinence de certains choix et quant à l’évocation de certaines questions. Nathalie nous a fait le plaisir, par quelques mails, de nous obliger à cadrer, mieux, les objectifs de ce colloque, on en tirera les conclusions demain soir. Nathalie, est-ce que tu souhaites dire un mot ? Nathalie Nyst : Au départ, ce n’est pas du tout avec ma fonction au sein du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles que je me suis intéressée à votre projet, même si vous savez que le groupe initial avait envoyé une demande en ce sens, c’est surtout parce que je m’occupe aussi bénévolement à mes moments perdus au réseau des musées de l’université de Bruxelles, dont fait partie le musée d'Anatomie et d'Embryologie humaines dont Stéphane parlera par la suite, et qui se pose ce problème d’administration de restes humains, à quelles fins et dans quel contexte. Et donc, ce que je présenterai demain vous surprendra peut-être mais cela m’a permis du coup de me pencher sur la question avec le regard des pouvoirs publics. Et je suis très heureuse d’avoir été associée et d’avoir accepté. Jean-Pierre Denefve : Merci. Bertrand… Bertrand Pasture : Le musée aussi est très heureux de participer au projet. C’est l’occasion de mettre un petit peu peut-être un coup de projecteur sur le muséum qui est un peu tombé dans l’oubli. Mais justement on sort un peu de l’ordinaire et c’est l’occasion de mettre en œuvre nos collections inestimables. Jean-Pierre Denefve : L’objectif était, sur deux jours, de passer à travers une série de regards autour de Julius Koch, pour l’éclairer, en espérant qu’il nous éclaire de là où il est, peut-être. Je vous rappelle que je suis un professeur de morale à la retraite, qui a passé un peu de temps à être comédien, à s’occuper d’expositions. Je vous demanderai en ce qui concerne mes interventions d’être extrêmement gentils avec moi. Je n’ai, pour ce genre de colloque, aucune espèce d’expérience. Par contre, pour essayer de mettre en place quelques petits moments, disons festifs, je suis aidé d’une équipe de « théâtreux », de plasticiens, placés sous la haute responsabilité de la présidence de notre association que je viens d’entendre rire. On repère tout de suite un rire de comédienne. C’est Christine Mordant qui est la présidente de notre association. Quant à cette équipe de « théâtreux » et de créateurs, il y en a quelques-uns qui nous rejoindront selon les horaires des bus, des trains et de la variation de la lumière pendant ce début d’automne. Jacky Legge : Je serai le gardien du temps aujourd’hui, je signalerai au conférencier qu’il est un peu temps d’arriver à la conclusion et j’accorderai cinq à sept minutes pour des questions d’éclaircissement à des membres de l’assistance. A côté de moi, il y a Robin Legge qui fera des synthèses qui nous permettront, surtout aux personnes qui nous rejoindront à certains moments, de savoir ce qui s’est dit pour alimenter aussi le carrefour de fin de journée. Robin Legge a étudié l’histoire de l’art à l’ULB et il poursuit cette année à Gand, en flamand. 15