DOSSIER
Le Salon EDUC est un salon particulier car il ne propose pas que
des produits mis en avant par
des entreprises, contrairement à
d’autres salons. Il présente également des institutions et des associations qui proposent des services, des formations,…
Le Salon EDUC a cela d’intéressant que les exposants qui s’y
concentrent font des choses
complémentaires. Et donc des
synergies se créent. C’est un lieu
de rencontres à part entière pour
tous les professionnels de l’éducation mais aussi pour tous nos
exposants dont les activités sont
très souvent complémentaires.
Les conférences permettent également des échanges d’idées et
des ouvertures de débats.
En cela, oui, c’est parfois pour l’exposant un lieu pour promouvoir
ses idées, ses opinions, comme
ses produits et services.
L’enseignement est un gros acteur
éducatif reconnu… au centre du
public venant au Salon. Comment
faites-vous pour élargir ce public
aux autres acteurs éducatifs ?
Les conférences présentent des
thèmes qui intéressent ces différents acteurs éducatifs voire elles
sont proposées ou programmées
par des associations qui travaillent
avec eux ou les représentent.
Notre communication permet
également d’atteindre ces publics différents puisque notre com-
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munication différenciée touche
toutes ces cibles.
Une nouveauté cette année fut
la possibilité pour les visiteurs de
préparer leur visite sur le site web
du Salon. L’encodage de leur
profil leur permettait d’identifier
les exposants et les conférences
susceptibles de les intéresser ou
qu’ils ne pouvaient absolument
pas manquer.
Vous avez beaucoup travaillé
sur les outils de communication
au service des exposants. Quels
sont-ils ? Des idées en projet ?
Nous avons développé l’utilisation
des réseaux sociaux, essentiellement Facebook, Tweeter (des
murs de tweets étaient d’ailleurs
disposés cette année sur le Salon)
et Pinterest. Ce sont des outils de
proximité, ils permettent d’entrer
davantage dans la sphère privée
de nos futurs visiteurs.
A ce jour, la page Facebook du
Salon continue à être alimentée
alors que l’édition 2015 est terminée.
Cela permet de maintenir le lien…
L’édition 2015 est terminée… Travaillez-vous déjà sur l’édition
2016 ?
Oui ! Travailler sur un Salon prend
plus qu’un an. Des idées doivent
être développées avant même
que l’édition précédente ne soit
terminée.
Que diriez-vous aux associations
qui ne voient pas (encore) un Salon comme le Salon Educ comme
espace à s’approprier ?
Le Salon EDUC est ouvert à tous
les acteurs quels qu’ils soient, qui
gravitent autour de l’Education.
Chaque jour, chacun peut trouver sur le Salon des conférences,
des contenus qui l’intéressera, des
partenaires,… et ainsi découvrir
des nouveautés, développer des
idées, évoluer et s’améliorer dans
ses pratiques.
L’extrascolaire fait partie de l’éducation. L’extrascolaire a donc
aussi une place sur le Salon EDUC.
Il faut profiter du Salon pour montrer l’importance de l’extrascolaire et pour faire reconnaître
l’extrascolaire comme partie intégrante du bon fonctionnement
de l’école.
Nous sommes toujours à l’affût
de nouvelles idées à développer.
C’est ce qui rend le Salon tellement vivant, riche et dynamique.