Les membres de l ’ équipage près du missile guidé Lacrosse au site de lancement de Fort Churchill , au Manitoba , en janvier 1960 . Le missile faisait partie d ’ une série de tirs d ’ essai réalisés avec succès par une équipe interarmées canado-américaine . D ’ une longueur d ’ environ 3 mètres et d ’ un diamètre d ’ environ 50 centimètres , le missile a été lancé à partir d ’ un camion lanceroquettes . CDL a fourni l ’ infrastructure à la Base de lancement de fusées de recherche de Churchill . construction sur le budget militaire de l ’ OTAN en 1962 , un comité formé d ’ experts provenant des pays membres de l ’ Alliance . Il a été réélu à ce poste l ’ année suivante .
Au travail avec les Américains Dans le passé , CDL s ’ était montrée tellement efficace dans le recrutement ( et souvent la gestion ) des entrepreneurs capables de satisfaire les demandes de l ’ armée américaine que la U . S . Air Force , voulant réaliser des économies , lui a demandé d ’ appliquer des procédures semblables de passation de marchés pour ses projets de logements familiaux à Goose Bay ( Labrador ) et à la base aérienne d ’ Harmon ( Terre- Neuve ). CDL a donc contribué à faire connaître ces projets au secteur canadien de la construction et a géré l ’ ouverture des enveloppes de soumission à Ottawa .
La Société a également persuadé l ’ U . S . Corps of Engineers de considérer les approbations de l ’ Association canadienne de normalisation ( CSA ) comme équivalentes à celles de l ’ Underwriters ’ Laboratories ( UL ) requises dans le cadre des marchés américains . De nombreux fabricants canadiens ont ainsi pu vendre leurs produits aux entrepreneurs travaillant pour l ’ organisme américain .
Dans un résumé des projets de construction militaire américains réalisés au Canada à la fin des années 1950 et au début des années 1960 , le personnel de CDL faisait remarquer que : « Cette façon de faire [ selon laquelle on faisait affaire avec des entrepreneurs canadiens ] n ’ avait pas uniquement été acceptée parce que nous avions insisté sur le fait qu ’ il était normal qu ’ une entreprise canadienne s ’ occupe de travaux réalisés au Canada . Notre argument de poids reposait sur la preuve que nous étions en mesure de réaliser ces travaux à la satisfaction des clients et à prix abordable . »
Au travail avec le Conseil de recherches pour la défense CDL était resté fidèle à son habitude de travailler à des projets uniques , dont plusieurs pour le Conseil de recherches pour la défense . C ’ est donc dans le cadre de ces projets que la Société a réalisé , notamment , la soufflerie à grande vitesse d ’ Uplands , près d ’ Ottawa , l ’ observatoire radar de recherche de Prince Albert ( Saskatchewan ) et les laboratoires d ’ électronique , de radiophysique et de chimie de Shirley ’ s Bay , près d ’ Ottawa , de la fin des années 1950 au début des années 1960 .
Pour le Conseil , elle a aussi participé à la réalisation de l ’ installation de lancement de fusées à Churchill , terminée en 1959 , puis d ’ une installation de recherche sur les fusées pour les États-Unis d ’ une valeur de 1,78 million de dollars au même endroit , en 1962 et en 1963 .
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