Bâtir sur l´innovation – Histoires de Construction de Défense | Page 25

James Stitt a commencé à travailler pour CDL en 1954 . Au moment de prendre sa retraite , en 1982 , il était vice-président de la Planification au siège social , à Ottawa .
Dans le doute , il fallait privilégier le côté pratique , parce que les décisions prises par rapport aux marchés l ’ étaient pour le compte de la Défense nationale . Nous en étions conscients et avons parfois dû céder à des demandes de financement très mal accueillies par le Ministère , parce qu ’ elles rongeaient le budget de construction , tout cela parce que les changements et les impondérables sont inévitables en construction . Je pense que nous nous sommes bâti une réputation d ’ entreprise raisonnable . Pas facile , mais raisonnable . Dick Johnson avait très bien établi les règles de base . Nous voulions être justes et raisonnables , c ’ était là notre modus operandi .
Tic , tac ! Tic , tac ! Ottawa , 1952 — Jim Stitt En 1952 , la SCHL avait passé un marché avec CDL prévoyant qu ’ elle devait lui fournir du personnel pouvant travailler aux marchés de CDL et maintenir tout ce personnel en poste . Le personnel du siège social de CDL s ’ est installé au siège social de la SCHL , chemin de Montréal à Ottawa . Eric Gold , qui était alors secrétaire de la SCHL , a trouvé que les appels interurbains de certains des jeunes ingénieurs des travaux ( soit Joe Bland , George Hay , Gerry Foley et moi ) coûtaient trop cher . Pour régler le problème , il a donné à chacun de nous une de ces minuteries qu ’ on utilise quand on fait cuire des œufs . Puis il nous a demandé de ne faire aucun interurbain de plus de trois minutes . Je ne pense pas que ça ait fonctionné .
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